Vous êtes élu·e local·e ou fonctionnaire territorial·e ?

👉 Le territoire de votre commune ou des communes voisines comporte des bidonvilles ou des squats ?

👉 Vous souhaitez vous impliquer pour l’accès aux droits des personnes qui y vivent ?

👉 Vous souhaitez résoudre les problématiques posées par ces sites ?

 

Notre collectif est disponible pour mettre son expertise à votre service et vous connecter avec d’autres acteurs clés pour vous aider, vous et votre équipe, à construire des projets ambitieux porteurs de solutions et respectueux des obligations qui vous incombent. En effet, si les compétences sur ces questions sont partagées entre de nombreux acteurs, et en premier lieu les services de l’Etat, la loi prévoit certaines obligations incombant aux mairies directement : scolarisation, domiciliation, amélioration des conditions de vie sur les sites occupés notamment via le raccordement à l’eau, à l’électricité et l’organisation d’un système de collecte des déchets…

➡️Rejoignez le Club des collectivités engagées ⬅️

 

Le Club des collectivités engagées, qu’est ce que c’est ?

  • Un réseau d’élu·es mobilisé·es auprès dans l’élaboration et le déploiement de projets visant à résorber les squats et bidonvilles
  • Un espaces de temps d’échanges entre collectivités afin de partager de l’informations (partage de connaissance des publics concernés, de bonnes pratiques, de difficultés rencontrées, d’outils juridiques etc.)
  • Un club est animé par le CNDH Romeurope, qui se réunit tout les deux mois sur un sujet en particulier
  • Un espace permettant de s’outiller (par des supports venant des collectivités elles-mêmes, de nos associations membres ou encore de nos partenaires )

Comment rejoindre le Club ? 

Pour en savoir plus sur le Club, contactez Julien Muller, chargé d’animation de réseau, au 06 35 52 85 46 ou sur julien.muller [a] romeurope . org

L’exemple de l’accès à l’eau lors du confinement

La crise du covid-19, et particulièrement les mois du confinement, ont mis en lumière la précarité et le manque d’accès aux services de base et aux droits fondamentaux des habitants des squats et bidonvilles. Malgré ce contexte de crise sanitaire et sociale, des avancées ont été réalisées pendant cette période, notamment autour de l’accès à l’eau. Ce sont en effet les préfets et les collectivités qui ont la responsabilité légale de veiller à rendre accessible l’accès à l’eau à tous les enfants, les femmes et les hommes vivant sur leur territoire, y compris dans les squats et les bidonvilles.

Ainsi, pendant la période du confinement, de nombreuses communes et métropoles ont œuvré au raccordement à l’eau de plusieurs lieux de vie grâce au soutien d’associations, montrant ainsi que le raccordement à l’eau d’un site n’était ni coûteux, ni compliqué et ne sous-entend pas la pérennisation de l’occupation du terrain.