[|[([*Souvenirs d’un futur radieux, un film réalisé par José Vieira, (documentaire de 78min) Production Zeugma, 2015. *])]|]

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Souvenirs d’un futur radieux est l’histoire croisée de deux bidonvilles qui se sont construits, à 40 ans d’intervalle, sur un même territoire, hors la ville. A Massy, dans la banlieue sud de Paris, nous habitions un bidonville par temps de croissance, de plein emploi et d’avenir prometteur. C’étaient les années 60. Ils vivent dans un taudis dans un climat de crise, de chômage et d’exclusion. Nous sommes au début des années 2000. Ils viennent de villages où il n’y a pas de travail, où ils n’ont pas de terre. Ils fuient une de ces démocraties libérales où les plus démunis n’ont aucun droit. Nous avions fui une dictature où les grands propriétaires terriens étaient de véritables seigneurs féodaux. Là-bas, d’où nous venions, des gens travaillaient du matin au soir pour un bol de soupe et un bout de pain. Nous venions du Portugal, ils viennent de Roumanie.

Page Facebook du film
Extraits vidéos : https://www.facebook.com/souvenirsdunfuturradieux/videos/962304970525402/
Pour consulter la critique de la Dépêche tsigane

Informations complémentaires :

Durée : 78mn – Format: 3/4
Langue: français, portugais, roumain, romani
VO sous titrée en français, portugais et anglais

Prix : 16€
Disponible à la Librairie Portugaise et Brésilienne
19/21, rue des Fossés Saint-Jacques 75005 Paris
Tel : 01 43 36 34 37
Vous pouvez le commander sur leur site internet :
http://www.librairie-portugaise.com/ShowProduct.aspx…
OU
Directement auprès de José Vieira
contact : jose.vieira.m@free.fr


[|[([*Pologne aller retour, un film réalisé par Anna Pitoun (documentaire de 70 min), 2012.
Production: Caravane Films*]
)]|]

Au départ, il s’agit de filmer pour rendre compte d’une première: un voyage inédit réunissant Juifs et Tsiganes de France sur les terres de la déportation. Un périple de 5 jours, d’Auschwitz-Birkenau à Treblinka.

Mais très vite, les liens se tissent entre les voyageurs et le film prend une nouvelle tournure. L’histoire terrible de l’extermination de millions d’hommes et de femmes se raconte, mais au fur et à mesure, c’est aussi la vie et l’espoir que l’on entend résonner. Les cultures se découvrent mutuellement, des rires, des chants, des interrogations apparaissent. La mort est un sujet tabou dans la communauté tzigane. Comment dès lors transmettre les témoignages? Les jeunes générations s’emparent également de la question de l’identité. Qu’est-ce qu’un peuple? Le peuple juif ou le peuple tsigane? Qu’est-ce qu’une communauté, quelle responsabilité face à l’histoire?

A leurs côtés, un homme, Benjamin Orenstein, rescapé d’Auschwitz. Né en Pologne en 1926, il avait juré de ne jamais revenir dans ce pays. Mais depuis quelques années, la montée des populismes en Europe et du négationnisme l’ont fait revenir sur sa promesse. Il accompagne les voyages des jeunes étudiants par la force de ses témoignages et la précision de ses souvenirs.


[|[*[(MOI MA FAMILLE ET WOODY ALLEN (2009))]*]|]

Réalisatrice : Laura Halilovic, Rom italienne

Durée : 52 mn


[|[*[(AUCH. FESTIVAL INDEPENDANCE(S) ET CREATION :
UN FILM SUR L’HOLOCAUSTE DES ROMS (15 Octobre 2009))]*]|]

Film de Tony Gatlif

Tony GATLIFT«Liberté ». Dans son dépouillement, le titre du film de Tony Gatlif sonne comme l’oriflamme d’une certaine idée du cinéma. Il ne pouvait mieux dire ce qui se trouve depuis des années au cœur de ce qui anime Ciné 32 : le refus de la soumission aux seuls critères du marché, la résistance à l’uniformisation, à la domination de l’industrie du divertissement.

« Liberté », en présence du réalisateur, ouvrira le 12e Festival Indépendance(s) et Création, aujourd’hui, à 19 h 30, au théâtre de la ville.

On connaît l’univers de prédilection du cinéaste, approfondi de film en film : celui des Roms, d’où qu’ils viennent, dont il est, à bien des égards, le chantre. Qui ne se souvient de « Latcho Drom », de « Gadjo Dilo » !
L’idée de faire un film sur l’holocauste des Roms taraudait Tony Gatlif depuis ses premiers pas dans la réalisation.
Pendant la Seconde Guerre mondiale, les Roms furent enfermés, déportés, massacrés avec l’accord de tous les pays, à la notable exception de la Bulgarie qui, quoique fasciste, refusa de livrer ses Tsiganes aux nazis. « Liberté » n dont Tony Gatlif signe aussi le scénario, s’inspire de personnages réels pour retracer le destin tragique d’une famille de Tsiganes de la France de 1943. Parmi les membres de cette famille, il y a Taloche (James Thiérrée), un grand gamin bohémien qui se lie d’amitié avec P’tit Claude, jeune orphelin de 9 ans, un gadjo qui les suit malgré eux pendant le voyage.
Parallèlement aux tribulations de cette famille de nomades, on assiste à l’histoire d’amitié de Mlle Lundi (Marie-Josée Croze), une institutrice, et Théodore, le maire du village (Marc Lavoine), les Justes. Tous deux tenteront de protéger P’tit Claude et sa nouvelle famille. Il arrive au cinéma de se faire l’avocat des opprimés et de parler de ceux qui n’ont pas la parole.


[|[*[(LA CITE DES ROMS-23 MAI 2009)]*]|]

Documentaire de Frédéric Castaignède, diffusé sur ARTE le 23 mai à 22h50.

Résumé :
Dans le ghetto de Nadejda, au cœur de la Bulgarie, où quelque vingt mille Roms vivent confinés derrière un mur en béton, Angel Tichaliev et les autres militants de l’Organisation de la jeunesse rom, une ONG locale, mènent un programme de déségrégation scolaire pour lutter contre les discriminations scandaleuses dont sont aujourd’hui encore victimes les Roms.


http://www.lacitedesroms-lefilm.com/index.html

[|[*[(ROMS ROUMAINS ET BULGARES VIVANT EN FRANCERECUS A LA COMMISSION EUROPEENNE (2009))]*]|]

Ils évoquent dans une courte séquence de 5 minutes les conséquences des mesures transitoires pour l’accès à l’emploi
http://www.slate.fr/story/6155/les-roms-citoyens-européens-en-théorie


[|[*[(LES ROMS A SAINT ETIENNE (2004-2007))]*]|]

Diaporama de Marie-Pierre Vincent

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